Livre "Penser l'existence, Exister la pensée" |
Remerciements |
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Tout d’abord, ceux qui ont rendu cette aventure possible, ceux qui étaient là aux origines d’un nouveau départ : mes parents, Henri Huyghe, le Pr.P.Jonckheere qui, m’initiant de 1979 à 1995 aux fondements de la phénoménologie clinique, resta toujours dans mon sillage, la conférence et la rencontre du Dr.R.Kuhn en 1978 décisives dans l’orientation de mon engagement thérapeutique : la Daseinsanalyse, le Pr.J.Schotte qui fut dès 1977 ouvreur d’horizons, articulateur de rencontres. Les professeurs Kinable et Dupuis, toujours à l’écoute, à suggérer à éclairer des zones d’ombres. En amont, je n’oublie pas l’université catholique de Louvain qui soutint la thèse qui devint ce livre. Ils ont lu et relu, corrigé les coquilles et pointé les
lourdeurs de style. Régulièrement, durant ces dix années, ils m’ont
rencontré pour partager une idée, approfondir une pensée. Ils m’ont
ouvert des espaces de travail au calme et apaisé dans les grands
moments de doute. Ils m’ont soutenu par leur présence et leur précieuse
amitié : les professeurs Michel Francard, Jeff Shore, Bernard
Stevens ; les Dr. Christiane Azera et Jean Raulier, Ief
Nicasi. Une pensée toute particulière pour le Dr. Dominique Saintes qui,
au-delà de son amitié indéfectible et de sa présence réconfortante,
corrigea avec assiduité la mouture intégrale. Je remercie le musée psychiatrique de Waldau à Berne pour
leur autorisation de publier les œuvres proposées en annexe. Une attention reconnaissante pour tous mes patients qui m’ont octroyé leur confiance. Retenons ceux qui ont étoffé cette thèse : Olivier, Eugen, Christophe, Valentin, Claude,…
Toute ma gratitude au Professeur Henri et Madame Elsa
Maldiney pour leur accueil, leur hospitalité, leur présence, leur
écoute, leur amitié et nos inestimables échanges. Je remercie Mme Elsa
Maldiney pour ces moments privilégiés où elle ouvrit les portes de son
atelier. Quelles découvertes, quel déploiement ! Elle me donna
l’aimable autorisation non seulement de publier deux de ses toiles mais
aussi de les commenter. Enfin, je rends hommage à ceux qui, m’ayant enseigné l’essentiel, dans la durée ou dans l’instant, nous ont quitté durant mes années de cheminement : les professeurs Tatossian, Fédida, Blanckenburg, de Waelhens et Tellenbach dont je garde un tendre souvenir lors d’une promenade autour du lac à Cerisy.
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